Re: Et vint le 8 mai 1461 ....

**neyco** Ven 24 Mai - 22:39

Mini joignant main elle écoutait et prenait note tout en signant document. Faisant un sourire en coin ce document scellait leur union et maintenant quiconque ne pourrais le dissoudre même avec un truc du genre "Elle est pas viergeeeeeeeeeeee". La c'était foutu nom d'un biscuit.

Les époux passant aux vœux, comment ils étaient dissiplinéssssssss, allez les anneaux et le bisou, le bisou. Humhum on se reprend concentration nom d'un biscuit.

Bien je vous remercie tous quatre pour votre sincérité. Nous allons faire échanges des anneaux.

Laissant Julien prendre les devants l'invitant par ses mains à prendre l'anneau pour Perrinne.

Julien répète après moi.

Moi Julien Giffard, je te reçois comme épouse et je serais ton époux. Je promets de t'aimer
fidèlement dans le bonheur et dans les épreuves tout au long de notre
vie. Reçoit cette alliance, signe de mon amour et de ma fidelité.

Lui laissant temps de répondre. La mini s'adressa ensuite à Perrinne lui intimant de répéter après elle.

Moi Perrinne Gisors Breuil, je te reçois comme époux et je serais ton épouse. Je promets de t'aimer
fidèlement dans le bonheur et dans les épreuves tout au long de notre
vie. Reçoit cette alliance, signe de mon amour et de ma fidélité.

Souriante elle les invita à leurs tours à signer document que les témoins avaient signé plus tôt.

Une fois fait.

Et bien je ne dirai qu'une chose. Julien tu peux embrasser la mariée.

Applaudissant les félicitant, la mini continua en s'adressant aux invités.

Je vous invite tous et toutes à venir partager vin et biscuits symbole de l'amitié qui nous réunit ce jour.

S'avançant prenant panier, la mini biscuit en profita pour faire son avant dernière annonce.

Aux femmes présentes demain au matin feu sera fait. C'est une petite tradition que j'ai expliqué aux mariés et tout deux étaient d'accord aussi drap de leur première nuit sera brulé, signifiant fin de leur vie seule et annonçant commencement d'une vie à deux.

Puis elle fit un clin d’œil aux témoins c'était leurs tours. Hochant de la tête en direction de Victoire, elle se recula finissant de signer ses propres documents afin de fournir dossier* à Perrinne et Julien.

[HRP: la totale envoyé en MP aux persos Juju, Pépé et Rehael sur fora de Rouen ^^]

**Asti** Sam 25 Mai - 8:56

Après avoir ânonné le crédo, et il en était persuadé, de la plus discrète des façons, il vit que l’ancien compagnon d’escorte avait fait comme Montjoie, lui et d’autres, retrait en fond d’église. Un discret salut ou plutôt signe de reconnaissance à son endroit et de retourner à la cérémonie. Les témoins avaient approuvés, les promis avaient fait vœux l’un envers l’autre et les voilà qui s’embrassaient.

Heureux jour, un coup d’œil à Adeline et Leda installé à quelques rangées plus en avant de lui, et de se demander quand ces deux là feraient la même chose. S’ils attendaient encore un peu, ils allaient supplanter les éternels fiancés Normands que sont Keur et Mylady. Il serait temps que Vire arrête de faire l’andouille sur ce coup.

Retour à la cérémonie, un truc curieux sur des draps brulés et signature des témoins. La sortie était proche et il faudra faire conversations et courbettes, bref, arrêter de faire l’ours qu’il est tout au fond de lui, mais ce n’était pas ce qu’il faisait avec le plus d’aisance. Il avait promis de se forcer un peu, mais devant l’échéance approchant, il sentait ses bonnes intentions s’étioler et commençait le long chapelet des excuses qu’il servait habituellement plus à lui-même qu’aux autres.

**Ingeburge** Sam 25 Mai - 11:19

Là, pour le coup, elle avait la réelle sensation d'être observée. Si la fois précédente, elle n'en avait pas été sûre, si elle s'était un peu demandé ce qu'il en était, entre deux considérations sur ses fleurs, là c'était certain. Il y avait eu juste assez de remue-ménage pour capter son attention et la rendre aux aguets. Sa concentration battue en brèche – heureusement qu'elle avait fini de prier! –, elle se redressa et revint à la position assise, non sans épousseter la jupe de sa houppelande et en en arrangeant les plis délicats. Il y avait un moment de flottement maintenant que les récitations étaient achevées, cet instant où après le recueillement, qu'il fût feint ou réel, il fallait à nouveau capter l'attention des ouailles. Cette brève pause fut mise à profit pour inspecter les entours et la duchesse impériale de Namur put constater qu'un petit doigt enfantin était pile poil dardé dans sa direction. Le petit Clément d'Amahir-Euphor, le neveu du comte du Tournel, la désignait à son père qu'il avait rejoint – cela expliquait les bruits de pas perçus.

Ça, ce doigt-là, elle ne pouvait pas le manquer et ne comprenant pas trop pourquoi elle était l'objet d'une telle péremptoire désignation, elle en vint à penser que son bandeau d'orfèvrerie était en train de se barrer ou qu'on voyait ses cheveux – comble de l'indécence – tout en grommelant in petto que ça devait être dans le sang euphorique de se comporter à la va-comme-j'te-pousse et que le pire là-dedans, c'était effectivement cromeugnon chez Clément, rigolo chez Keridil et craquant chez Actarius. Oh la la, voilà qu'elle devenait toute molle. Petit signe du chef à son futur neveu par alliance et retour à la cérémonie qui avait repris ses droits car sinon, elle aussi elle filerait vers le duc de Chartres et ce serait foutu, ils parleraient broderie comme s'ils se trouvaient dans un salon, le fier papa conterait tous les exploits de son fiston, Clément continuerait à charmer son entourage et Della morigénerait tout le monde.

D'une oreille attentive et parce qu'elle accordait une grande importance aux sacrements, Ingeburge écouta la lecture puis l'homélie. Il ne lui semblait pas avoir déjà entendu pareil extrait du dogme lors d'un mariage et ce qui était certain, c'était qu'elle ne l'avait jamais utilisé lors des noces qu'elle avait pu elle-même célébrer et elle jugea le choix, pour tout curieux qu'il fût, des plus intéressants. Sentant son affaiblissement passager s'éloigner, elle fut définitivement rassérénée en entendant les vœux car le fait était qu'elle ne pourrait jamais surpasser Juju et Pépé en terme de guimauve. Niark! C'est donc parfaitement satisfaite d'elle-même et ravie d'être présente à ces épousailles qu'elle attendit la suite, cette suite qui était la plus importante. Le consentement mutuel. Rien ne comptait plus à ses yeux que cet instant-là.

**Alix du Vivier** Sam 1 Juin - 6:58

La cérémonie allait prendre fin, bientôt tout serait scellé par un serment réciproque, une griffe sur un parchemin et voilà, top là c'était réglé jusqu'à la fin des temps, son époux s'était réveillé un crédot récité tout deux échangèrent un regard complice qui les projetaient quelques mois en arrière.

Suite et fin, probablement discussions, sourire à ne plus finir. Soif oui soif aussi à force de parler, mais connaissant Julien, il aura paré à cela.
Il lui tardait de mieux connaitre sa charmante épouse, dont une approche avec elle n'avait eu lieu que par missive.
Revoir et papoter de tout et de rien avec tout ceux qui ne lui était pas inconnu, certaines personnes avec qui elle avait plus d'affinités que d'autres, liées par des combats ou ils avaient tous participé.

Un petit coup de coude à Tadek pour lui rappeler qu'après l'église il y aurait encore un bon moment à passer sur le domaine de Julien et qu'elle comptait bien lui présenter ses amis..

**Keridil** Dim 2 Juin - 14:43

Keri Keri, après une ou deux démonstrations d'affection tout à fait décentes faites à Della recueillit en son giron son petit héritier adorablement blond et éveillé. Clément Lexhor Jules était le plus beau bébé du monde. Que dis-je !? Ce n'est plus un bébé du tout, c'est un délicieux bambin curieux qui découvre le monde et a déjà la capacité - toute héritée de son père - de savoir reconnaître les personnes importantes dans une assemblée. Et n'y manquant pas, le futur duc de Chartres - pour peu qu'il survive à son paternel - pointait d'un ostentatoire doigt rondelet la moins rondelette Prinzessin. Le petit doigt fut saisi par une main un peu plus pudique, et l'Amahir junior claque un bisou qui pète - mais pas trop fort - sur la joue de son fiston, rillant - mais pas aux éclats.
Tout le drame d'une église c'est qu'on ne peut guère s'y laisser aller aux effusions de joie et de bonheur, et moins encore quand les curetons de tous bords déblatèrent avec toute la solennité du monde.
Vaguement, Keridil avait répondu au salut adressé à son fils par Ingeburge, sans trop savoir si elle le réceptionnerait. S'il n'avait pas eu femme et enfant, il l'aurait en effet rejointe pour causer couture. Il avait d'ailleurs réussi à produire une ma-gni-fique scène de fauchage des blés dont il n'était pas peu fier, et sans même se piquer le doigt. Viril en diable !

Se lançant dans un dynamique "à-dada" qui devait achever tout le calme reclus dans le monstricule qu'il portait sur ses genoux, la Fouine de Bréméan lui pinça la joue, et s'adonna à d'horribles gouzis-gouzis, avant de lui dispenser un enseignement absolument primordial pour sa vie d'adulte.

J'ai vu qui est là. Et qui est là ? Hein ? C'est tata Inge ! Parce qu'Ingege, elle va se marier à tonton Acta.

Tonton Acta qu'il est de bon ton de ne pas appeler Actata.
Voilà, ces mots devaient sans doute gâcher tout avenir protocolaire dans la vie de Clément, et ce dans l'inconscience complète de l'ancien Grand Ambassadeur Royal.

Tadek Lun 3 Juin - 12:42

Alors qu'il était en pleine méditation sur ce qu'il voyait, Tadek
se revoyait quelques mois en arrière où il avait unis sa vie
à celle d'Alix avec un "oui" franc et heureux et si il devait
recommencer, sa réponse resterait la même, un "oui" pour
une femme exceptionnelle et si délicate ...

Tad' fut sorti de sa rêverie par un coup de coude d'Alix,
pour la délicatesse, on repassera, mais pour le reste ...

Il lui fit un petit sourire et lui jetta un regard plein d'amour
et d'émotion même si parfois il était maltraité comme
elle venait de le faire à l'instant, mais il l'aimait pour ça
et pour plein d'autres choses.

**Julien Giffard** Lun 10 Juin - 19:25

Bon, c'est quand qu'il peut embrasser la mariée? Parce que là, l'impatience commençait à le guetter tout de même! Et puis, faut bien le reconnaitre, c'est ce que tout le monde attend dans les mariages. Le Giffard était dans les starting blocks, prêt à sauter sur la Pepe... sauf qu'il allait devoir encore patienter.

Se calmant un tant soit peu, Julien prit délicatement la main de Perrinne, et tenta de lui passer la bague au doigt. Petit moment d'inquiétude, ne sachant plus si c'était la bonne main et quel était le doigt désigné. Tout paniqué, il se tourna vers Baile pour lui demander tel un muet quelle était la bonne main et le bon doigt avant de réaliser qu'elle ne devait pas être plus avancée que lui en ce domaine. Il tenta en désespoir de cause de jeter un dernier regard à l'assemblée et surtout de chercher des yeux les mains de Bess, Marie et Alix. Et là, la gymnastique intellectuelle n'était pas fini. S'il était face à elle, alors l'équivalent de sa main droite était leur main gauche. Donc, c'était la... euh... main gauche donc et le 1 2 3 4, ayé, le 4ème doigt en partant du pouce. Pfiou, pas évident tout ça quand même. Un vrai parcours du combattant.

Après avoir trouvé la réponse à toutes ses questions, Julien procéda donc tout en répétant les phrases rituelles.

Moi Julien Giffard, je te reçois comme épouse et je serais ton époux. Je promets de t'aimer fidèlement dans le bonheur et dans les épreuves tout au long de notre vie. Reçoit cette alliance, signe de mon amour et de ma fidelité.

Ayé c'est bon? Le baiser?

**Perrinne** Jeu 13 Juin - 16:08

Non mais, il est des circonstances où on sort de sa réserve habituelle, de son sérieux, etc pour devenir totalement fleur bleue. Sauf que cette facette, elle est plutot intime et privée. Du coup, c'est face à un public trié sur le volet qu'on ose la dévoiler, quitte à tout nier en bloc par la suite. C'est qu'il y a un certain "standing" à conserver quand même.
Neyco ayant enchainé sitot cet épanchement durant leurs voeux, arrivait le moment fatidique du baiser....
Ah non, zut, d'abord, les bagues. Sauf que... elle n'avait aucune idée de ce que Julien avait choisi comme signe distinctif de leur union et c'est un brin méfiante qu'elle le regarda attraper l'un des anneaux et le lui glisser -après une hésitation- au doigt. Des doutes de dernieres minutes ?

Mais alors, le temps s'arreta pour elle. Ce reflet, cet éclat dans la pierre, ce poli, elle connaissait. Son regard alla de sa main à son époux, une question des plus claires au fond des yeux. Etait-ce ?

C'est en serrant très fort les dents pour ne pas pleurer, avec l'assurance acquise de longues séances de représentations héraldiques pour dissimuler un émoi éventuelle qu'elle résista. Difficilement, mais résista. Et si ses prunelles se mouillerent en lisant la confirmation sur le visage de Julien, elle réussit à retenir les larmes. Qui des deux était le plus niais ou énamouré en cet instant était difficile à départager. Mais il était clair aux yeux de la jeune normande que son barbu venait de marquer beaucoup de points sur cette partie avec cette alliance. Pour le tout venant, c'était un simple silex poli, aux éclats laissant deviner un fragile fossile. Anodin, rustique meme. Pour elle, c'était bien plus. Et pour Julien également semblait-il vu le choix qu'il avait fait.

Et puis le temps reprit son envol, sa fuite... et à son tour elle saisit l'alliance qui restait là. Son compagnon ayant fait le choix d'arborer lui aussi un anneau alors que rien ne l'imposait dans les usages. Avec une assurance l'étonnant elle-meme, elle glissa le sobre anneau serti de meme au doigt ferme et male qui se tendait devant elle, tout en prononcant les paroles rituelles.

Moi Perrinne de Gisors-Breuil,
Parce que Gisors-Breuil, elle resterait malgré tout.

je te reçois comme époux et je serais ton épouse. Je promets de t'aimer fidèlement dans le bonheur et dans les épreuves tout au long de notre vie. Reçoit cette alliance, signe de mon amour et de ma fidélité.

Si la voix n'était pas la plus claire, les mots y étaient. Le sort était jeté, le mariage prononcé. D'ailleurs Neyco le confirmait en les invitant au baiser. Probablement ensuite parlerait-elle de cette tradition plus intimidante et impudique. Mais las, sa virginité n'etait pas un secret et elle avait bien assez attendu. D'autant que son époux avait été peu coopératif en cela. Ou à cheval sur certains principes si on l'écoutait...

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